La bande à fanino

C’est une collection de personnages désopilants : Émile, Tatie, Giangreco ou Père Nino. Derrière la perruque, la jupe ou le béret, toujours Éric Fanino. Mais pas pour le public qui se laisse prendre au jeu, quand il n’y voit pas que du feu. Entendu récément à la sortie de la salle de spectacle :  » Comment ça, Tatie, c’était vous ??? « 

PÈRE NINO EST UN CURÉ DES CHAMPS.

Bon vivant, et plutôt porté sur le vin de messe et la chanson. Qu’importe si ses sermons imbibés parlent inéluctablement en rock & roll. Résolument optimiste quant au genre humain, il veille avec bienveillance sur ses ouailles, en particulier sur Émile, qui, « le pauvret, n’a pas l’éclairage à tous les étages ». Un curé qu’on inviterait bien pour le week-end, car avec lui, la franche rigolade est assurée.

TATIE EST UNE DAME ENTRE DEUX ÂGES, MAIS LESQUELS ?

C’est votre mère ou votre grand-mère, votre tante ou l’assistante maternelle de vos enfants. Elle est enveloppée dehors et fine dedans. Elle a l’accent du sud mais son bon sens ne perd jamais le nord. Elle a une pêche d’enfer et vous  colle la banane. Tatie est énorme : elle remplit les cœur et imprime définitivement la mémoire des spectateurs d’une humanité généreuse et hilarante. Le public sort heureux et boosté pour la semaine. Tatie, on l’aime !

ÉMILE EST UN GENTIL GARÇON.

Il lui manque quelques finitions mais il est plein de gentillesse, de confiance et d’enthousiasme. Il ne doute de rien et surtout pas de lui même et part ainsi à la recherche de son égérie, la belle Angélina, si jolie …

LA FABRIQUE DE LA BONNE HUMEUR – DURÉE : 80 MINUTES.

Un grand spectacle d’humour, de chant et de danse. Mieux encore, une véritable comédie musicale condensée en un seul homme. La Fabrique de la bonne humeur, c’est un triple concentré de Fanino : c’est savoureux, et ça sent bon le soleil et le Midi.

Trois personnages comiques et émouvants font le show :
Tatie, retraitée du travail mais pas de la vie, haute en couleur et joyeusement subversive ;
Émile, brave garçon innocent et résolument optimiste, pas vraiment câblé selon le modèle standard, et souffrant de l’étrange syndrome de… la fixette ;
Père Nino, curé décalé et truculent, fortement porté sur la joie de vivre et le gros rouge.

Éric Fanino boucle son spectacle sans costume, tel qu’en lui-même, et revient avec finesse et bonhomie sur son aventure de saltimbanque à l’accent chantant. Une ode géante au bonheur, une vague d’énergie et d’allégresse qui emporte les spectateurs et les dépose, au terme du spectacle, ravis, heureux et ragaillardis.

La Provence : « Un humour qui fait mouche à chaque fois, et un public qui joue le jeu ! » Laprovence.com : « Un franc moment de rigolade apprécié par tous. » « Une excellente présence sur scène ! » « Une comédie de pure détente. Les zygomatiques sont actifs ! » Var Matin : « Une figure attachante, hilarante et de grand talent. » Le Dauphiné Libéré : « Une façon toute méridionale, un humour naturel… Un passage remarqué au Festival d’Avignon. »

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